Pays : | France - Paris |
Année : | 2012 |
Diapason : | 65 cm |
Table : | Épicéa |
Dos / éclisses : | Palissandre de Madagascar |
Touche : | Ébène - 52mm |
Longueur caisse : |
485 mm |
Largeur caisse : |
277/240/360 mm |
Profondeur caisse : |
91/95 mm |
Poids : | 1 786 g |
Hauteur cordes : | 2,8/4 mm |
État : | Très bon |
Prix : |
Vendue |
Le nom de Dominique Field s’inscrit dans la grande histoire de la lutherie, dans la lignée et aux côtés des grands noms des luthiers de tradition française qui, depuis René Lacôté au XIXè siècles, et par la suite Robert Bouchet et Daniel Friederich ont élevé cet art au plus haut niveau. Ses guitares ont été jouées par certains des plus grands concertistes.
La première chose qui frappe, avant même de l’entendre, lorsqu’on voit une guitare construite par Dominique Field c’est la beauté, la qualité du travail atteint un niveau de perfection, de raffinement et d’élégance inouïs. La deuxième chose qui frappe quand cette fois on entend la guitare, c’est de retrouver l’ensemble de ces qualités reproduites dans la musicalité de l’instrument. Quand on élève la lutherie à un tel niveau elle devient alors un art, la guitare n’est sans doute plus un « instrument » de musique, mais une musicienne à part entière, complice de l’interprète elle participe avec lui au déploiement de cette beauté musicale susceptible d’émouvoir ceux qui l’écoutent. Cette guitare construite en 2012 que nous avons la chance de présenter n’échappe pas à cette règle, sa présence sonore et sa musicalité d’une qualité et d’un niveau inouïs en font un instrument exceptionnel.
(article sur Dominique Field dans le Orfeo Magazine n°7 dans lequel on peut voir cette guitare n°211)