Pays : | Italie - Modène |
Année : | Décembre 2021 |
Diapason : | 65 cm |
Table : | Épicéa |
Dos / éclisses : | Palissandre indien |
Touches : | Ebène - 51mm |
Mécaniques : | Alessi |
Longueur caisse : |
480 mm |
Largeur caisse : |
280/240/370 mm |
Profondeur caisse : |
90/100 mm |
Poids : | 1 430 g |
Hauteur cordes : | 2,9/3,7 mm |
État : | Neuf |
Prix : |
Vendue |
Paolo Coriani commence sa carrière de luthier par un apprentissage de 5 ans (1975-1980) à l'atelier de lutherie Massetti de Modène (atelier créé par les deux frères Primo et Romolo Massetti en 1922). En 1984, Paolo Coriani ouvre son propre atelier où il construit des guitares et des vielles à roue dont une lui permettra d'obtenir le 3ème prix de lutherie de Bagnacavallo. Il construit alors ses guitares en s'inspirant des travaux les plus modernes de l'époque (Friederich, Schneider/Kasha, Kohno...). Lors de plusieurs voyages à Paris, il se lie d'amitié avec Christian Aubin, la découverte de la Torres 1867 (FE23) d'Aubin (restaurée par Bouchet) semble avoir été déterminante dans le travail de Paolo Coriani.
Cette très belle guitare de Paolo Coriani est une copie Hermann Hauser I. L’esthétique, le travail de lutherie et les finitions sont, comme d’habitude chez ce luthier, d'une qualité remarquable, les bois sont superbes. Sur le plan sonore les notes sont pleines, colorées, vibrantes et chantantes. Le timbre est profond, boisé avec une magnifique expressivité : Paolo Coriani parvient à retrouver l’esprit qui fait la réputation de ces guitares, du grand art….
(lire l'artice sur Paolo Coriani dans le Orfeo Magazine n°6)